[Histoire réelle, milles excuses d'avance pour les fautes ^^ et au passage un gros merci à celui avec qui j'ai pu vivre cette expérience.]

Après plusieurs insolences ( et probablement aussi juste parce qu'il en avait envie ^^), il décide que s'en est trop. Il trouve que je prends trop mes aises et que je suis paradoxalement encore plus insolente qu'au début et compte bien y remédier fermement.

Il se lève : « Finis ton dessert rapidement et ensuite tu me rejoins pantalon et culotte baissés. » Je le regarde l'air de dire vraiment ? Et pourquoi ? Et puis non je ne le ferai pas, et je retourne à mon dessert.Calmement, il lance :« Tu recevras le fil jusqu'à obtention d'excuses en bonnes et dues formes»Je m'inquiète un peu, mais pas plus que cela tout en grimaçant intérieurement Arf, il est sérieux... puis il ajoute : « Dépêche-toi ! Je ne suis pas patient donc chaque seconde que j'attends te vaudra un coup de fil! »

Je fais comme si de rien était, mais inconsciemment je me dépêche un peu plus au cas où il mettrait sa menace à exécution. Je traîne encore un peu en rangeant la table, puis je me dirige vers lui lentement. Il m'attrape par le bras et me tire dans la chambre en m'ordonnant de baisser pantalon et boxer. Avant d'obéir, je lui jette un regard exaspéré (oui pas encore désespéré..on y viendra). Néanmoins, je frissonne un peu quand il m'ordonne de m'allonger sur le ventre, les bras tendus vers le haut. Je sais parfaitement ce qui m'attend maintenant que je suis dans cette position.

Le souvenir ne peut être que bien présent étant donné que je l'ai reçu sévèrement le matin même avec en plus les poignets liés à la taille.. Je frissonne à nouveau..« On va remédier à ton comportement insolent, tu vas voir. » dit-il posément.Le premier coup tombe comme un coup de fouet, je sens très nettement sa brûlure, mais pas le temps de s'apitoyer sur celle-ci que le deuxième coup arrive déjà pour me chauffer les fesses comme promis.

Machinalement, je me mets à compter intérieurement, les coups pleuvent imprévisibles. Avec cet instrument, je ne cherche même plus à cacher mes gémissements, je pousse des « Ah ! Aïeee ! Ooh ! Hou ! » (enfin j'expérimente toute la gamme ^^) à chaque coup qui mord férocement mon fessier.En plus il n'a pas l'air de vouloir s'arrêter, ni de vouloir faire une pause !!Je gigote dans tous les sens pour que le fil arrive moins sur la surface endolorie par le coup précédent, l'incitant (que je crois...) à changer de fesse pour soulager l'autre quelques secondes.Les coups qui arrivent deux fois au même endroit sont absolument terribles... et me font particulièrement bouger.

Après que cela se soit produit déjà plusieurs fois suite à une bonne vingtaine de coups, je craque et me protège avec mes mains en m'écartant de l'objet de torture... Je me recroqueville en position fœtale en geignant, j'essaye de retrouver mon souffle pour m'aider à reprendre le dessus sur la douleur. Pendant ce laps de temps j'ai l'esprit en ébullition : « Oh punaise ça fait maaaal ! Juste quelques minutes de répit, je n'en peux plus..! Il va me dire de me remettre en position... mais je ne veux toujours pas m'excuser putain. Est-ce que je peux encore supporter un autre coup ? ... »

Après quelques secondes de répit, j'entends : « -Remets-toi en position ! », je geins, mais ne bouge pas.

« Tout de suite ! Je n'arrêterai pas avant d'avoir eu des excuses. »Ne bougeant toujours pas, il m'attrape par la hanche pour me remettre en position. Je cède sous le mouvement craignant un coup supplémentaire plus sévère, tout en me traitant de maso (t'as juste à t'excuser)..mais je ne veux pas céder. Les coups pleuvent à nouveau, il me semble un peu moins fort..ce qui est loin de vouloir dire indolore... Ils sont, dirais-je moins insupportables.

La cadence ne faiblit pas non plus, 34,35,36. En comptant, je me demande comment j'ai pu en encaisser autant. Je remue dans tous les sens et tente de me protéger en pliant les jambes ( Bordel, pourquoi ces de jambes n'arrivent-elles pas à cacher mes fesses !!! ). Les coups reprennent avec plus d'intensité. Il m'attrape les jambes pour les coincer entre les siennes, je gémis désespérée.

J'ai un moment de panique, mes jambes immobilisées je ne peux plus me protéger aussi futile que soit cette protection, je ne peux plus bouger autant pour éviter les coups et surtout dans cette nouvelle position il va maintenant frapper verticalement (donc possiblement le coup sera encaissé par une seule fesse).Pour l'avoir expérimenté une ou deux fois je savais avoir des raisons de paniquer...ça fait terriblement mal. Les coups pleuvent tout comme mes exclamations de douleurs. Je continue de compter 50,51,52..OK !!! 53...AH ! OKAY c'est bon !

Je capitule, mes fesses sont en feu, je m'empresse d'y appliquer mes mains pour essayer d'en atténuer la brûlure. Il s'arrête : « -Debout ! », j'ai trop mal, je suis concentrée sur la chaleur qui me brûle autant les fesses que les mains. Il répète en me menaçant de m’administrer à nouveau le fil. J'obéis malgré la douleur et me rends compte que je suis trempée de plaisir.. Je suis gênée et fixe le lit en me relevant en espérant ne pas y avoir laissé de traces.Plus le temps d'y penser, il m'attrape le bras et s'assoit sur le lit : « Bien, je veux des excuses à haute voix et tu me regardes dans les yeux. »

J'ai toujours du mal à faire des excuses donc je continue de résister, je n'arrive pas à me décider alors il décide pour moi : c'est trop long. « Bon, tu n'es pas décidée ! Aller hop sur mes genoux ! », je geins : « -Nooon ».

Avant qu'il me bascule de f o r c e, je cède et m'allonge sur ses genoux. Il me tient bien et commence une volée dès plus cinglante à la brosse à cheveux, je me débats et gémis sous cette avalanche. Je suis à deux doigts de m'excuser tellement c'est intense, mais il s'arrête et me remet debout face à lui. « Alors ? », je cède plus rapidement : « -Je suis désolée.. », «-Bien, va au coin ».

J'y vais sans broncher, soulager que cela s'arrête. Il m'y laisse quelques minutes puis annonce « Je n'aime pas l'insolence. » et ponctue sa phrase de trois coups de fil bien sentis qui me font me cambrer rapidement.Il s'assoit sur le lit et m'appelle :« Je veux des excuses complètes pour ton comportement, tu mets tes mains sur la tête, tu me regardes dans les yeux et tu t'excuses correctement. »

Je geins : «-Mais je me suis déjà excusée.. ».Ma réponse ne lui plaît pas du tout : « Toi, on s’est mal compris, mets-toi de profil ! ». Il saisit le fils, je gémis et proteste faiblement car je sais que je n'y échapperai pas. Il frappe fort, au sixième coup je craque et me dégage. Il ne tente pas de m'en empêcher, je me frotte les fesses puis retourne vers lui prudemment parce qu'il attend mes excuses.

Je mets mes mains sur la tête, je respire un grand coup en préparant mentalement une phrase qui lui convienne :«Je suis désolée et je te présente mes excuses pour mon comportement insolent.. »

« -Tu vois quand tu veux.», il saisit la brosse à cheveux : « Allez viens sur mes genoux ».Je soupire désespérée en pensant, Nooon je me suis excusée, pas la brosse.

Après la correction que j'ai reçue je n'ai pas plus envie de le contredire que d'être insolente ou rebelle. Voyant qu'il ne compte pas changer d'avis, je m'installe craintivement sur ses genoux. Il caresse mes fesses avec la brosse, je suis paniquée, j'attends avec anxiété le moment où je ne l'a sentirais plus. Ce moment arrive, je retiens ma respiration puis... rien il continue de jouer avec mes nerfs au moins autant à vif que mes fesses.

C'est donc avec surprise et soulagement que je sens à la place de la brûlure de la brosse, une substance froide, il m'applique de la biafine. Je me détends un peu, il rit « Oui, je voulais te faire peur avec la brosse », je grogne. Le massage est agréable bien que les caresses soient parfois douloureuses sur les zones plus meurtries.

Je finirai dans ses bras, docile et calme, pour être couverte de câlins réconfortant après cette punition sévère mais méritée.

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